Une IA Ethique pour transformer votre business
Un peu confus ce post LinkedIn, mais quelques pépites. Pourquoi les nouveaux modèles sont plus efficaces ET hallucinent plus. Pourquoi les organisations hybrides vont gagner la transition IA (ne virez pas les vieux, embauchez des jeunes…)
Impressionnant de voir l’arrivée des modèles de raisonnement en juin 2024 avec notamment Claude 3.5 Sonnet qui a permis le vibe coding. Et aussi détruit les marges des fournisseurs de ces services : de +90% à -30%. Ils réagissent donc en changeant la grille des prix. Ces consommations de token ne sont pas neutres pour la planète…
Etude du Financial Times sur les Earnings Calls du S&P 500. 75% mentionnent l’IA, tout en émettant des doutes sur la sécurité et l’impact business. Plus les sociétés sont importantes, plus la couverture est positive. Probablement corrélé à la crainte de voir leurs actions chuter… Il ne s’agit pas de questionner ici l’impact de l’IA, plutôt son agenda d’impact business. Ce n’est que le début, si on ne mesure pas, c’est peut-être que ça n’existe pas.
Aux États-Unis, les entreprises suspectées de ne pas être à l’ère de l’IA dévissent en Bourse et donc licencient. Les projections de réduction d’emploi de l’année précédentes se sont révélées fausses. L’IA va bien-sûr avoir un impact majeur sur les emplois et il faut y faire attention, mais pour l’instant la cause des licenciements, c’est plus la bourse que les gains de productivité, qui eux ne sont pas encore là.
Un framework très intéressant pour déployer des projets Gen IA. Pourquoi les anciennes méthodes ne marchent plus ? La Gen IA n’est pas déterministe : son usage ne consiste pas à cliquer sur de simples boutons et son comportement varie également. Il faut donc faire un compromis entre contrôle et autonomie. Et adapter la gestion du projet en conséquence.
Une nouvelle expression “Workslop” pour le monde du travail, d’après une tendance apparue sur les réseaux : la bouillie d’IA formée par des contenus de mauvaise qualité. Appliqué à l’entreprise, ça donne quoi ? Cet article assez négatif apporte une vision intéressante. On ressort les collaborateurs fainéants, mais équipés de l’IA cette fois, beaucoup plus nocifs. Qui existent souvent à cause de mauvais managers. On refait le match de la digitalisation…
C’est un peu technique, mais la lecture du début suffit à comprendre le principal enjeu des systèmes multi-agents : le contexte que chacun va recevoir dans le prompt. Il est limité en taille et peut rapidement se prendre les pieds dans le tapis. L’article détaille comment Manus, Anthropic ou Cursor ont choisi des approches spécifiques.
C’est la période des standards (comme au début d’internet), après A2A, MCP pour articuler les agents, Google lance AP2, un protocole pour que les agents puissent acheter en votre nom. C’est tous les sites de ecommerce, et il n’y en a pas que des très gros, qui va prendre une grosse vague. Le SEO devient GEO (generative engine optimisation) et les interfaces vont devoir s’adapter à des IA qui surfent en plus grands nombres que des humains.
Une nouvelle étude montre que ceux qui connaissent le mieux l’IA sont moins enthousiastes à s’en servir que ceux qui n’y connaissent rien ! Cela relaie les chiffres d’autres études sur la confiance qui baisse depuis un an dans les capacités de l’IA. Normal finalement, la GenAI est toute jeune. À prendre en considération dans le déploiement en entreprise : les promoteurs ne seront pas forcément les plus avancés sur l’IA…
Des témoignages réalistes sur le vibe coding : cela fait beaucoup d’erreurs qui nécessitent de longues vérifications, mais le solde est toujours positif pour les développeurs. On devrait toujours avoir cet équilibre entre gain/perte sur l’IA et ne pas tomber dans un extrême de l’un ou l’autre.