Une IA Ethique pour transformer votre business
Media Manager permettra en 2025 aux artistes et aux créateurs de contenus, y compris les médias, de revendiquer la paternité de leurs productions et de spécifier s’ils souhaitaient ou non autoriser la société à les utiliser pour entraîner ses modèles d’IA générative. Ca sent l’IA Act mais ne règle pas tout, de loin.
Le modèle de partenariat OpenAi avec les médias dévoilé : en échange d’un peu de visibilité, OpenAI peut entraîner ses modèles sur des datas de très bonne qualité (et s’en passer dans le futur ?). Le baiser de la mort pour les médias ?
C’est un peu technique mais permet de voir comment est construit un RAG (au moins jusqu’à la vingtième minute)
Où l’on voit la massive utilisation des collaborateurs mais à des degrés très divers, et ne dit pas dans quelle organisation (l’IA de l’entreprise ou un chatGPT non sécurisé en accès public) ?
Si les profs ne peuvent pas détecter les textes écrits par l’IA, en entreprise, impossible idem. Il faudra faire confiance à l’émetteur d’avoir vérifier les potentielles hallucinations et fausse affirmations
De l’importance des données d’entrainement : le principal usage de la GenAI reste le code. Celui qui aura le meilleur service restera leader (les tech vont bouger de l’un à l’autre service plus facilement que le grand public)
Une solution pour les entreprises qui aborde le fine-tuning sur ses data et la sécurité. Mais pas sûr de comprendre son positionnement en taille d’entreprise ou complexité de projets
Quelques chiffres intéressants sur le taux d’adoption de l’IA aux US et les freins rencontrés : le premier, encore la sécurité et la data
Incroyable de voir comment le CTO de Microsoft s’inquiète de l’avance de Google par email, ce qui a permis au CEO de faire l’investissement dans OpenAI grâce à Bill Gates…
La nouvelle version du mechanical turk, où l’humain se cache derrière l’automation