A new future of work: The race to deploy AI and raise skills in Europe and beyond
Compliqué de s’y retrouver dans des rapports parfois contradictoires. C’est l’évidence que les lignes vont bouger : ici, on prédit que 30% des heures travaillées pourraient être automatisées, ce qui ne veut pas dire 30% des jobs supprimés. Cela concernerait 6% des emplois ayant besoin de transition, soit deux fois plus rapide que l’économie pre-pandémie (ou oublie parfois que techno en rupture ou pas, les emplois évoluent en permanence). Et l’étude liste les compétences à renforcer en 2030, rien de surprenant, mais ça va mieux en le visualisant